Ohne Titel

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Nach seiner vorletzten Reise verfasste Himmelheber 1975 einen Aufsatz über afrikanische Kunsthändler in der Côte d’Ivoire. Dazu hatte er die Kunsthändler nach ihren Bezugsquellen und ihrem Werdegang befragt. Im Laufe seiner Tätigkeit sei es immer schwieriger geworden, «traditionelle» Objekte anzukaufen. Er erkannte die Massenherstellung an der Einförmigkeit der Objekte und verwendete dafür den Begriff der «Exportkunst». Zuvor hatte er schon zur Touristen- und Airport-Kunst publiziert.
After his second-to-last journey to Africa, Himmelheber wrote an essay in 1975 on African art dealers in Ivory Coast. He had interviewed art dealers about their sources and their careers. Over the years, it had become increasingly difficult to acquire “traditional” objects. He spotted mass production from the uniformity of the objects that he called "art for export.” He had published previously on tourist and airport art.
À l’issue de son avant-dernier voyage, Himmelheber rédigea en 1975 un essai sur les marchands d’art africains de la Côte d’Ivoire. Il les avait interrogés pour ce faire sur leurs sources d’approvisionnement et leur carrière. L’achat d’objets «traditionnels» était devenu de plus en plus difficile au fil de la carrière de Himmelheber, qui reconnaissait la fabrication de masse à l’uniformité des objets. Il les désignait alors par l’expression «art d’exportation». Auparavant, il avait déjà abordé dans ses publications l’art pour les touristes et l’art d’aéroport.

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