ohne Titel ["Zaouli in Nouanoufla 5.II.68"]

FHH 343 18 15463

Bei dieser Maske ist ein europäisch gekleideter Mann dargestellt, der sich auf zwei Elefanten stützt. Nach der Unabhängigkeit der Côte d’Ivoire beobachtete Hans Himmelheber die Zunahme von neuen Maskentypen, die auf die nachkoloniale Lebenswelt Bezug nahmen. Dies widerlegte seiner Ansicht nach die Annahme, dass die Kunst Afrikas aufgrund von Kolonisierung, Missionierung oder Islamisierung zugrunde gehe. Vielmehr würden die neuen wirtschaftlichen und politischen Entwicklungen und die Aufbruchsstimmung im noch jungen Nationalstaat Impulse für neue Unterhaltungsformen und Moden geben.
This mask represents a man in European clothing supported by two elephants. After the independence of Ivory Coast, Hans Himmelheber observed an increase in new mask types referring to the world of postcolonial life. In his view, this disproved the assumption that the art of Africa was in decline as a result of colonialization, missionary work, and Islamization. Rather, the new economic and political developments and the sense of a new dawn would provide the still-young nation-state with impetus for new forms of entertainment and fashions.
On reconnaît sur ce masque un homme vêtu à l’européenne prenant appui sur deux éléphants. Après l’indépendance de la Côte d’Ivoire, Hans Himmelheber nota une augmentation de nouveaux types de masques faisant référence au quotidien postcolonial. D’après lui, c’était là la preuve – contrairement à ce que certains supposaient – que l’art de l’Afrique ne courait pas à sa perte du fait de la colonisation, de l’évangélisation et de l’islamisation. Himmelheber estimait au contraire que les évolutions économiques et politiques et l’esprit de renouveau de cet État-nation encore jeune nourriraient de nouvelles formes de divertissement et des modes inédites.

Disclaimer

Diese Seite enthält sensible Inhalte. Um mehr zu erfahren, klicken Sie hier.

This page contains sensitive content. To learn more click here.

Cette page contient des contenus sensibles. Pour en savoir plus, cliquez ici.