Die Tendenz zur «schmuckhaften Überladung» zeigte sich vor allem bei Objekten, die für den Verkauf an Touristen vorgesehen waren. Diesen Webrollenhalter gestaltete der Bildhauer als «zappelndes Über- und Ineinander von Köpfen und Figuren », so Himmelheber (1965). Damit war das Objekt nicht mehr in einem Webstuhl zu benutzen. Zudem wurde eine Fantasieszene dargestellt: Ein Elefant klettert an einem Menschen hoch. Für Hans Himmelheber waren solche Werke von Interesse, wenn sie ihn gestalterisch überzeugten, standen sie doch für die künstlerische Freiheit, die zeitgenössische Bildhauer gegenüber dem tradierten Formenrepertoire besassen.
The trend toward “ornamental overload” was seen above all in objects intended to be sold to tourists. The sculptor designed this heddle pulley as a “fidgety superimposition and juxtaposition of heads and figures,” as Himmelheber put it. The object could not no longer be used in a loom. For Hans Himmelheber, such works were interesting if he found them aesthetically convincing, since they stood for the artistic freedom that contemporary sculptures had vis-à-vis the classical repertoire of forms.
La tendance à «la surcharge ornementale» s’exprimait principalement sur les objets destinés à être vendus aux touristes. Ici, l’artiste avait sculpté l’étrier de poulie comme «un empilement, une imbrication trépidante de têtes et de personnages  », pour reprendre la description de Himmelheber. L’objet ne pouvait de ce fait plus être utilisé dans un métier à tisser. En outre, la scène représentée était fantaisiste, montrant un éléphant grimpant sur un être humain. Pour Hans Himmel­heber, de telles œuvres pouvaient être intéressantes à condition de le convaincre sur le plan créatif : elles reflétaient alors la licence artistique dont jouissaient les sculpteurs contemporains vis-à-vis du répertoire formel des canons en place.